Sydney Cove flanked by the Opera House and Harbour Bridge
Between the kangaroos on Pebbly Beach
Cookies Beach - Durras
Hitchcock - The Birds
Misty Blue Mountains
The three sisters in the last sunlight
Art Deco in Sydney's Central Business District
Three years down under and upside down ... surrounded by the beauty, culture and diversity of Australia.
Sydney Cove flanked by the Opera House and Harbour Bridge
Between the kangaroos on Pebbly Beach
Cookies Beach - Durras
Hitchcock - The Birds
Misty Blue Mountains
The three sisters in the last sunlight
Art Deco in Sydney's Central Business District
Trephina gorge - East McDonald ranges
Aboriginal caterpillar at Emily Gap - East MacDonnell Ranges
Redbank Gorge - West McDonald ranges
Lonely tree at Palm Valley
Awing on the edge of Kings Canyon
One of the many faces of Kata Tjuta
Valley of the Winds - Kata Tjuta
Sunset on Kata Tjuta
Uluru, the world's largest monolith
Collecting wood for the campfire, a daily routine
Outback sunrise
Quelques mois sont passés déjà et l’hivers s’installe. Le soleil est toujours présent mais les températures, elles, chutent avec des différences durant la journée assez impréssionnantes (0°C le matin jusqu’à 15-20°C l’après-midi).
Et juillet-aout arrive, avec la visite des parents de Thomas. Après avoir passé qq jours a Canberra (entre autre pour se remettre du jetlag), ils repartent assez vite avec Thomas pour le Red Centre (en effet, moi je vais le faire au mois d’avril avec ma mère). Six jours dans le Outback a dormir dans des swags (sac de couchage australien, visiblement assez confortables) sous un ciel étoilé, autour d’un feu de camps pour éloigner chameaux sauvages et dingos. Ils ont ainsi pu voir Alice Springs (triste) mais surtout l’est et l’ouest de MacDonnell Ranges, l’oasis de Palm Valley, le majestueux Kings Canyon et bien sur Uluru (ex-Ayers Rock) sans oublier Kata Tjuta (the Olgas). Le temps étant assez nuageux, ils n’ont pas vu l’Uluru des cartes postales mais ont été enchantés par leur voyage et impressionnés par les changements de couleur du paysage (Uluru est connu pour sa capacité à changer de couleur en fonction du jour et de l'heure).
Ayers Rock est le nom donné au rocher par les colons européens et Uluru est le nom aborigène, devenu nom officiel dans les années 80. Depuis la restitution des terres de 1976, de nombreux aborigènes sont retournés vivre sur les lieux de leurs ancêtres (homeland) dont ils avaient été chassés. Uluru contient des sources, des mares, des cavernes et des peintures. Il est le lieu central des croyances des Anangus : "This is Aboriginal land and you are welcome. Look around and learn, in order to understand Aboriginal people and also understand that Aboriginal culture is strong and alive" (http://www.deh.gov.au/parks/uluru/). Le rocher étant sacré pour les Aborigènes, son ascension est déconseillée à ceux qui souhaitent respecter leurs croyances. Chaque année, des accidents, parfois mortels, surviennent (surtout des japonais). De toute façon, la meilleure façon de profiter du rocher est d'en faire le tour.
En bref, un très beau voyage dans le outback australien.